le midi n°4

député des Pyrénées Orientale qui se fait élire grâce aux voix des républicains (gauche) et des légitimistes rendant compte d'un calcul politique, et qui figurera aux gouvernement à la chute de Louis Philippe

journal destiné à soutenir la campagne d’Arago, en opposition aux journal des PO

organisation de l'opposition républicaine très active de 1848 à 1850

évenement en juin 1848,entrainant une révolte des ouvriers réprimés par le générale Cavaignac

pourcentage de vote en faveur du candidat Louis Napoleon Bonaparte dans l'Hérault

républicain avancé récoltant plus de suffrage dans le midi que nulle part en France ,annonciateur des prémices du Midi Rouge

loi de 1850 qui stipule qu’il faut justifier de 3 ans de résidence au même endroit pour voter.

chef de l'insurrection biterroise suite aux coup d'état du 2 Décembre 1851,qui sera par la suite en réaction de l'état déporté en Guyane

construction démontrant le développement de la viticulture et des chemins ,ainsi qu'une prospérité importante

personnage qui à la suite de la chute du second empire prend la mairie de Béziers pour en devenir le maire républicain

ville avec une "commune" similaire à Paris dirigée par Emile Digeon qui éclate quelques jours après celle-ci

évêque de Montpellier en 1872 et qui le reste jusqu’en 1920, montrant bien la résistance du Midi blanc.

mélange du français inculqué dans les écoles républicaines et la patoi du midi conservé par les classes populaires

ensemble d'espaces de sociabilités organisés en loges qui soutiennent la parti radical notamment à Béziers, à l'exception du grand orient ou ceux ci sont plutôt de la gauche anticléricale (Desmons, Louis Lafferre)

évenement témoignant de la montée de l'antisémitisme en 1893 suite à des vagues de migrations italiennes et espagnoles

personnage qui en venant à Béziers ,rédige un discours à moitié en Français, et à moitié en occitan

date de la crise viticole lié à la surproduction du vin,résolu par la distillation et la contraction de l’offre

produit du midi acheté massivement par le gouvernement par les mobilisés durant la première guerre mondiale