Il vaudrait mieux accepter les deux versions, car la version originelle imprimée donne « nos ». http://www.etaletaculture.fr/wp-content/uploads/2013/05/la-marseillaise-rouget-de-lisle.jpg
J'ai écouté récemment sur youtube une version chantée par un corps militaires, et je crois bien entendre "Marchez, marchez, qu'un sang [...]"
Comme si ce chant devenez un ordre, pour aller se défendre.
Ce qui aussi du sens.
Mais c'est vrai que "marchons", ça permet d'inclure tout le monde. "Marchez", on pourrait imaginer Gamelin planqué derrière son état-major le dire en envoyant les soldats au front.
Ce qui induit la perte d' Egalité propre à notre devise.
Ce n'est pas tout à fait le sang des nobles, et d'ailleurs la vidéo que vous citez le démontre assez clairement.
Le sang impur est celui des contre-révolutionnaires, des ennemis de la révolution. Parler de sang noble serait impropre étant donné que plusieurs nobles ont été du côté des révolutionnaires.
D'ailleurs un autre couplet indique clairement que seuls ceux ayant voulu préserver le système aristocratique et la monarchie sont les ennemis.
Portons ou retenons nos coups ! / Épargnons ces tristes victimes, / A regret, s'armant contre nous ! (Bis) / Mais ce despote sanguinaire ! / Mais ces complices de Bouillé !
Non, on ne peut pas faire un chant patriotique demandant aux pauvres gens de se sacrifier, il faut les galvaniser, et le sang impur est celui des ennemis de la révolution, ceux qui sont contre les idées de république et de démocratie.
Comme si ce chant devenez un ordre, pour aller se défendre.
Ce qui aussi du sens.
Mais c'est vrai que "marchons", ça permet d'inclure tout le monde. "Marchez", on pourrait imaginer Gamelin planqué derrière son état-major le dire en envoyant les soldats au front.
Ce qui induit la perte d' Egalité propre à notre devise.
Le sang impur est celui des contre-révolutionnaires, des ennemis de la révolution. Parler de sang noble serait impropre étant donné que plusieurs nobles ont été du côté des révolutionnaires.
D'ailleurs un autre couplet indique clairement que seuls ceux ayant voulu préserver le système aristocratique et la monarchie sont les ennemis.
Portons ou retenons nos coups ! / Épargnons ces tristes victimes, / A regret, s'armant contre nous ! (Bis) / Mais ce despote sanguinaire ! / Mais ces complices de Bouillé !