- feuillet musculaire en dôme
- entre thorax et abdomen
- inséré sur les côtes inférieures
- Innervé par les nerfs phréniques (issus de la moelle épinière
cervicale en C3,C4, C5)
✓ relient les côtes latérales
✓ attirent les côtes vers le haut et l’avant
✓ Donc augmente le diamètre du thorax
✓ Innervés par les nerfs intercostaux (issus de 11
paires de nerfs spinaux thoraciques)
Grâce à la plèvre, grâce à des gradients de pression transmurale à travers la paroi des poumons et de la paroi de la cage thoracique, ils sont contraints de suivre les mouvements de la cage thoracique. Ils peuvent alors se déformer, se distendre = phénomène de compliance.
La pression de l'atmosphère ne changera pas (760mmHG), tandis que la pressions des alvéoles passe de 760mmHG au repos à 759mmHG à l'inspiration (un équilibre à 760mmHG est retrouvé à la fin de l'inspiration), puis 761mmHG à l'expiration, et que celle de la plèvre passera de 756mmHG au repos à 754mmHG à l'inspiration (et à la fin également), puis 756mmHG à l'expiration. Ces changement de gradients permettent le déplacement de l'air.
ils détectent des variations dans la circulation sanguine, on a les Corpuscules carotidiens et les Chémorécepteurs aortiques
Les variations chimiques détectées par les chémorécepteurs sont traduites
en potentiels d’action dans les fibres afférentes
Ils détectent des variations dans le LCR, Ils sont à la surface ventrale du bulbe
rachidien et sont baignés de LCR
Le diaphragme permet la respiration basale, il :
- s'abaisse à l’inspiration → il grandit la cage thoracique
- reprend sa place, ou remonte, à l’expiration
- Déplacement de 1 cm en respiration basale
- peut atteindre 10 cm en respiration forcée
Les fibres nerveuses qui en sont issues rejoignent les nerfs X (nerfs vagues)
Détectent :
• des variations de PO2 < ou > à la normale
• des variations de PCO2
• des variations de pH sanguin (acidose ou alcalose)
Lorsque la PCO2 augmente dans le sang (seul le CO2 peut diffuser dans le LCR car la BHE ne laisse pas passer les ions H+ et HCO3-)
Le CO2 engendre la formation d’H+ dans le LCR
Les chémorécepteurs centraux sont sensibles aux H+
Ces ions ne proviennent pas de la circulation sanguine mais sont formés localement après passage du CO2 du sang vers le LCR
In fine, les chémorécepteurs centraux permettent donc de détecter les variations de PCO2 grâce aux variations de pH qu’elles engendrent
Mécanorécepteurs bronchiques
-Localisés dans les bronches
-Sensibles à l’étirement durant l’inflation pulmonaire
Récepteurs d’irritation
-Localisés dans épithélium nasal et les bronches
-Activés par le CO2, gaz irritants, l’histamine
Mécanorécepteurs musculaires (muscles striés squelettiques)
-MécanoRc activés pendant le mouvement (propriocepteurs)
Muscles de la paroi abdominale (muscles abdominaux)
✓ les muscles les plus importants à l‘expiration active
✓ Augmentent la pression intra-abdominale
✓ Le diaphragme est refoulé vers le haut
✓ Diminution du volume de la cage thoracique
Muscles intercostaux internes
✓ Attirent les côtes vers le bas et vers l’intérieur
✓ Diminuent le volume de la cage thoracique
tous des muscles striés squelettiques donc ils sont commandés par le système nerveux somatique, qu’on oppose aux muscles lisses commandés par le système nerveux végétatif.
Cela appartient globalement à la fonction de nutrition.
La respiration/ventilation est sous le contrôle du système nerveux somatique (commandée de manière volontaire) et peut aussi être commandée par des réflexes (lié à un manque d’oxygène)
• situé à la division entre les artères carotides externe et interne.
• structures les plus vascularisées de notre organisme mesurant la P02
artérielle avec précision.
• les fibres nerveuses qui en sont issues rejoignent les nerfs IX
Ce sont les chémoRc les plus importants pour détecter des variations de
PO2 < ou > à la normale