Questions | Réponses | % Correct |
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Genre cinématographique italien proche du néo-polar dénonçant également la corruption de la société mais qui met plus l'accent sur l'horreur et l'épouvante. Genre dans lequel excellait Mario Bava bien que le "chef d'œuvre" de ce dernier soit un néo-polar : "Les Chiens enragés". | Le giallo | 80%
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Duo comique italien qui parodia le genre avec des films comme "Les super-flics de Miami" du précédent ou "Pair et impair" du frère de ce dernier. | Bud Spencer | 70%
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Cascadeur français qui régla les scènes de courses-poursuites automobiles dans "Le témoin à abattre". | Rémy Julienne | 70%
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Acteur américain qui joua le rôle-titre dans ce film. | Clint Eastwood | 60%
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Acteur principal du film "Le témoin à abattre" qui avait lui-même joué le rôle-titre de "Keoma" avec le même réalisateur et s'était précédemment rendu célèbre par d'autres westerns spaghetti comme "Django" ou "El mercenario". | Franco Nero | 60%
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Duo d'acteurs, un Cubain et un Piémontais, qui tinrent les rôles principaux de Piero Cavallero et du commissaire Basevi dans "Bandits à Milan" de Carlo Lizzani, film reconnu comme le premier "néo-polar italien" en 1968. Ces deux acteurs qui se détestait mutuellement, avaient déjà été en tête d'affiche du western spaghetti de Sergio Sollima, "Le dernier face à face", l'année précédente. | Gian Maria Volonté | 60%
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Nom donné à la période historique d'une quinzaine d'années en Italie entre la fin des années 1960 et le début des années 1980, caractérisée par des attentats sanglants comme l'attentat de la Gare de Bologne en 1980, climat de violence qui s'est typiquement reflété dans le néo-polar, justement en vogue à l'époque. | Les années de plomb | 60%
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Pilier du cinéma français qui fit une incursion dans le genre en 1974 avec son rôle du Père Charlie dans "Les durs" ("Uomini duri") de Duccio Tessari aux côté d'Isaac Hayes. Film tourné à Chicago. | Lino Ventura | 60%
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Film américain de Don Siegel sorti en 1971 qui contribua à définir les codes du néo-polar italien : le super-flic qui se charge des affaires les plus « pourries », traque un ennemi juré avec des méthodes peu orthodoxes en butte avec sa hiérarchie laxiste voire corrompue. De nombreux films italiens ultérieurs s'en inspireront. Le film a engendré des débats sur des sujets comme la violence policière ou le féminisme. | L'inspecteur Harry | 60%
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Duo comique italien qui parodia le genre dans des films comme "Les super-flics de Miami" de Bruno Corbucci ou "Pair et impair" du frère de ce dernier. | Terence Hill | 60%
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Film américain de Michael Winner dans lequel Charles Bronson incarne l'architecte "Paul Kersey" qui se fait justice lui-même après le viol de sa fille et le meurtre de son épouse. Par extraordinaire, ce film est sorti en 1974 peu de temps après "Un citoyen se rebelle" en Italie, exactement sur le même thème. | Un justicier dans la ville | 50%
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Genre cinématographique dérivé du néo-polar italien dans lequel un citoyen ordinaire se fait justice lui-même devant l'incapacité des autorités légales à appréhender les criminels. Le film "Un citoyen se rebelle" de 1974 ("Il cittadino si ribella") avec le même duo réalisateur-acteur précédent (réponses #11 et #12) est un modèle du genre qui a influencé de nombreux films américains comme les films de William Lustig. | Le film d'auto-défense | 40%
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Genre cinématographique international de l'immédiat après-guerre, dont l'appellation est née du critique français, Nino Frank, basé sur des thèmes typiques comme la trahison ou l'infidélité avec des stéréotypes comme la "femme fatale". Genre qui fut précurseur du néo-polar italien bien que la violence et l'action y furent moins présentes. Humphrey Bogart en était un acteur récurrent. | Le film noir | 40%
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Acteur français qui donna la réplique à Charles Bronson dans "La cité de la violence" de Sergio Sollima en 1970. Les deux acteurs allaient faire un pacte de sang sur le tournage. Ils sont tous les deux décédés en septembre 2003, à deux jours d'intervalles. | Michel Constantin | 40%
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Nom italien du genre. | Poliziottesco | 40%
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Duo d'acteurs, un Cubain et un Génois, qui tinrent les rôles principaux de Piero Cavallero et du commissaire Basevi dans "Bandits à Milan" de Carlo Lizzani, film reconnu comme le premier "néo-polar italien" en 1968. Ces deux acteurs qui se détestait mutuellement, avaient déjà été en tête d'affiche du western spaghetti de Sergio Sollima, "Le dernier face à face", l'année précédente. | Tomás Milián | 40%
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Réalisateur italien connu pour son western spaghetti tardif Keoma qui réalisa le néo-polar "Le témoin à abattre" ("La polizia incrimina la legge assolve") en 1973. | Enzo G. Castellari | 30%
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Acteur français décédé prématurément d'une overdose d'héroïne en 1983 qui avait joué dans "Le clan des Siciliens" de Verneuil et "La horse" de Pierre Granier-Deferre. Dans le film "Uomini si nasce Polizziotti si muore" ("Live like a cop, die like a man") de Ruggero Deodato sorti en 1976 et jamais adapté en français, il joue le rôle d'Antonio, un flics aux méthodes expéditives qui a le permit de tuer plutôt que d'arrêter, car son supérieur craint qu'il pût tomber dans la criminalité s'il n'était pas du côté de la police. Un film d'une violence inouïe, nihiliste et, certains diront, fascisant. | Marc Porel | 20%
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