Personnage de Team Fortress 2 par description

Le [...] est le seul personnage qui tue sans le vouloir ... En effet, il vit dans une hallucination permanente qui lui donne une vision paisible du monde alors qu'il s'agit en fait d'un carnage total. L'origine de ces hallucinations est probablement dû à sa volonté d'avoir voulu rester trop longtemps sous un masque à gaz trop renfermé.

Dans son ancienne vie comme un chasseur de jeu dangereux dans l'impitoyable Outback Australien, le [...] pouvait passer des mois seul. L'isolation prolongée lui a apprit une leçon de valeur : tu n'as pas besoin de t'appuyer sur d'autres personnes si tu ne manques jamais. Il est en vérité, originaire de la Nouvelle-Zélande où ses origines seront révélées dans les comics Team Fortress 2 où l'on apprendra qu'il a été adopté puis élevé en Australie (ses origines sont une parodie de celles de Superman).

Comme un ours en hibernation, Le [...] semble être un gentil géant. Tout comme un ours, cependant, le croire gentil vous mènera à vous faire déchiqueter en petits morceaux. Bien qu'il parle simplement et se déplace avec une économie d'énergie qui est souvent confondue avec la sieste, Le [...] n'est pas stupide, il n'est pas votre ami, et il souhaite généralement que vous vous la fermiez avant qu'il ne doive vous la fermer.

C'est un mystère en plus d'une énigme qui ferait partie d'une charade secrète. Nul ne sait pourqu... DERRIÈRE TOI ! Trop tard. T'es mort. Il est le spadassin international, le tombeur de ces dames et le fossoyeur de ces messieurs.

Le plus jeune de huit garçons provenant du Sud de Boston, le [...] apprît très tôt à résoudre ses problèmes avec ses poings. Avec sept frères plus âgés, les combats avaient tendance à s'achever avant que l'avorton de la fratrie ne puisse arriver à portée de coup. Le [...] s'entraîna donc à courir. Il courut partout, tout le temps, jusqu'à ce qu'il puisse avoir l'avantage sur ses chiens fous de frères.

Cet aimable et poli habitant de la ville de Bee Cave au Texas aime les barbecues, les armes, et l'éducation universitaire. Sa curiosité naturelle, ses dix ans comme dur à cuire dans les champs de pétrole à l'Ouest du Texas et ses onze doctorats en sciences pures lui ont appris à concevoir, construire et réparer une grande variété d'engins mortels, dont il prend visiblement plaisir à se servir.

Bien qu'il manque un peu de compassion pour les malades, de respect pour la dignité humaine, et toute sorte d'entraînement officiel en médecine, le [...] ne manque pas de seringues gigantesques et d'une volonté sans faille de les enfoncer dans les chairs exposées.

Élevé à Stuttgart, Allemagne, durant une ère où le serment d'Hippocrate avait été dévalorisé en une option facultative, le Medic considère les soins comme un effet secondaire fortuit de la satisfaction de sa propre curiosité morbide. La communauté pense que le Medic a quelque pensées Nazies.

Malgré son désir désespéré de combattre durant la Seconde Guerre Mondiale, le [...] fut rejeté de chacune des branches de l'armée américaine. Imperturbable, il acheta son propre ticket pour l'Europe. Après l'atterrissage et une localisation difficile de la Pologne, le [...] apprit par lui-même à charger et faire feu avec différentes armes avant d'embarquer pour un massacre de Nazis pour lequel il reçût plusieurs médailles qu'il dessina et créa lui-même. Son carnage pris fin immédiatement à la découverte de la fin de la guerre en 1949.

Un tempérament fier, une fascination pour tous les explosifs, et un plan machiavélique pour tuer le Monstre du Loch Ness, qui enleva au [...], alors âgé de six ans, ses premiers parents adoptifs. Quelques temps plus tard, à l'école de Crypt Grammar pour orphelins, situé à coté de Ullapool, sur les hautes terres écossaises; les talents de l'enfant pour les explosifs s'améliorèrent dramatiquement. Son caractère et son nombre total d'œil intact, cependant, ne s'améliorèrent pas.

Son efficacité avec les explosifs commença alors à s'ébruiter, et il ne fallut pas longtemps pour que deux visiteurs se présentent à la Crypt Grammar : les parents biologiques du Demoman, qui expliquèrent avec amour que tous les [...] sont abandonnés à la naissance en attendant que leur talents se manifestent. Une longue, cruelle et (pas vraiment) nécessaire tradition au sein des Hommes de Démolition des Hautes Terres. Sa malheureuse enfance prit fin. Mais son entraînement ne faisait que commencer.