thumbnail

Chansons d'autrefois jusqu'en 1950

Retrouvez le titre avec les 1ères paroles...
Créé par clo59
Évaluation:
Dernière actualisation : 20 avril 2023
Vous n'avez pas encore tenté ce quiz.
Première soumission20 avril 2023
Nombre de tentatives18
Score moyen18,0%
Signaler ce quizSignaler
60:00
Entrez votre réponse ici
0
 / 50 trouvés
Ce quiz a été mis en pause. Vous avez .
Résultats
Votre score est de / = %
Il bat ou égale % des joueurs ont aussi obtenu 100%
Le résultat moyen est
Votre meilleur score est de
Votre temps le plus rapide est
Continuez à faire défiler vers le bas pour obtenir les réponses et plus de stats ...
Année
Paroles
Titre
1785
Plaisir d'amour ne dure qu'un moment,
Chagrin d'amour dure toute la vie.
Plaisir d'amour
1868
Quand nous en serons au temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête.
Le temps des cerises
1870
Le Régiment de Sambre et Meuse
Marchait toujours au cri de liberté,
Cherchant la route glorieuse
Qui l'a conduit à l'immortalité.
Le Régiment de Sambre et Meuse
1882
Mignonne, quand la lune éclaire
La plaine aux bruits mélodieux,
Lorsque l'étoile du mystèreL
La chanson des blés d'or
1886
e suis l'chef d'une joyeuse famille,
Depuis longtemps j'avais fait l'projet
D'emmener ma femme, ma sœur, ma fille
Voir la revue du quatorze juillet.
En revenant de la revue
1888
Un fiacre allait trottinant,
Cahin-caha, Hu, dia ! Hop là !
Un fiacre allait trottinant,
Jaune, avec un cocher blanc.
Le Fiacre
1888
Debout, les damnés de la terre
Debout, les forçats de la faim
La raison tonne en son cratère,
C'est l'éruption de la faim.
L'Internationale
1890
L'immensité, les cieux, les monts, la plaine,
L'astre du jour qui répand sa chaleur,
Les sapins verts dont la montagne est pleine
Sont ton ouvrage, ô divin créateur !
Le Crédo du paysan
1891
Las de t'attendre dans la rue
J'ai lancé deux petits pavés
Sur tes carreaux que j'ai crevés
Les petits pavés
1896
Vous êtes si jolie O mon bel ange blond !
Que ma lèvre amoureuse en baisant votre front
Semble perdre la vie !
Vous êtes si jolie !
1896
La Lune était sereine quand sur le boulevard
Je vis poindre Sosthène qui me dit "cher Oscar"
"D'où viens-tu, vieille branche?", moi, je lui répondis
"C'est aujourd'hui dimanche et c'est demain lundi"
Le Chat Noir
1897
La femme porte quelques fois
La culotte dans son ménage
Le fait est constaté, je crois
Dans les liens du mariage
Frou-frou
1902
Le sam'di soir, après l'turbin l'ouvrier parisien
Dit à sa femm': comme dessert,
J'te pai' l'café concert; on va filer,
Bras d'ssus, bras d'ssous aux gal'ries à vingt sous
Viens Poupoule
1905
Je t'ai rencontré simplement
Et tu n'as rien fait pour chercher à me plaire
Je t'aime pourtant
D'un amour ardent
Dont rien, je le sens, ne pourra me défaire.
Fascination
1905
Un Espagnol sévère
D'une ouvrière,
Au Moulin d' la Galette
Fit la conquête
Il dit à sa compagne
Comme en Espagne :
Je m'en vais vous montrer
Un pas à la mod' qui va vous charmer
La Matchiche
1906
Les marins qui meurent en mer
Et que l'on jette au gouffre amer
Comme une pierre
Avec les Chrétiens refroidis
Ne s'en vont pas au Paradis
Trouver Saint-Pierre!
Les Goëlands
1906
C'est moi qui suis sa petite
Son Anana, son Anana, son Anammite
Je suis vive, je suis charmante
Comme un p'tit z'oiseau qui chante
La petite Tonkinoise
1907
Les soldats sont là-bas endormis sur la plaine
Où le souffle du soir chante pour les bercer,
La terre aux blés rasés parfume son haleine,
La sentinelle au loin va d'un pas cadencé.
Le rêve passe
1910
Ils ne sont pas des gens à valse lente
Les bons rôdeurs qui glissent dans la nuit
Ils lui préfèrent la vals' entraînante
Souple, rapid' où l'on tourne sans bruit
Valse brune
1913
Pour aller à Suresnes ou bien à Charenton
Tout le long de la Seine on passe sous les ponts
Pendant le jour, suivant son cours
Tout Paris en bateau défile
Sous les ponts de Paris
1914
Quand j'suis parti avec ma classe
Pour v'nir ici faire mes trois ans
Mon cousin m'dit : "Ya l'fils Bidasse
Qui va dans le même régiment,
Tu devrais faire sa connaissance."
Avec Bidasse
1914
V'là longtemps qu'après la soup' du soir,
De d'ssus l'banc ousque je vais m'asseoir,
Je vois une femme, une merveille,
Qu'elle est brune et qu'elle a les yeux noirs.
La caissière du Grand Café
1914
Pour le repos, le plaisir du militaire,
Il est là-bas à deux pas de la forêt
Une maison aux murs tout couverts de lierre
Aux vrais poilu c'est le nom du cabaret
Quand Madelon
1916
De ses grands yeux de saphir clair
Aux reflets changeants de la mer
Colinette regarde la route
Va rêvant, tressaille, écoute
Les roses de Picardie
1917
Mon oncle baron des glycines
Qui a des fermes et des millions
Ma dis je part pour l'Argentine et tu connais mes conditions
Mon héritage je te l'destine mais tu ne toucherais pas un rond
Si tu n'prenais pas soin de Titine pour qui j'ai une adoration
Ya huit jours qu'elle n'est pas rentrée
Je cherche après Titine
Année
Paroles
Titre
1920
Sur cette terre, ma seule joie, mon seul bonheur
C'est mon homme
J'ai donné tout ce que j'ai, mon amour et tout mon cœur
À mon homme
Mon homme
1925
C'était un gamin, un gosse de Paris
Pour famille il n'avait qu'sa mère
Une pauvre fille aux grands yeux rougis
Par les chagrins et la misère
Les roses blanches
1930
C'est le printemps, on a vingt ans
Le coeur et le moteur battent gaiement
Avoir un bon copain
1930
On dit qu'au-delà des mers
Là-bas sous le ciel clair
Il existe une cité
Au séjour enchanté
Et sous les grands arbres noirs
Chaque soir
Vers elle s'en va tout mon espoir
J'ai deux amours
1931
Quand on est matelot On est toujours sur l'eau.
On visite le monde, C'est le métier le plus beau!
Les gars de la marine
1932
Sa vieille maman
Lui dit un jour tendrement:
"Dans notre log’ment
J’ai peiné souvent
Pour t’él’ver fallait d’l’argent;
Mais t’as compris, un peu plus chaque jour,
Ce que c’est le bonheur, mon amour
Sous les toits de Paris
1932
La nuit s'est faite, la berge
S'estompe et se perd...
Seule, au passage, une auberge
Cligne ses yeux pers.
Le chaland glisse, sans trêve
Sur l'eau de satin,
Le chaland qui pas
1933
Je sais une église au fond d'un hameau
Dont le fin clocher se mire dans l'eau
Dans l'eau pure d'une rivière
Lorsque je suis las du monde et du bruit
J'y viens à pas lents quand tombe la nuit
Faire une prière
La petite église
1933
Pour aller à la Préfecture
Prends la route numéro trois
Tu suis la file des voitures
Et tu t'en vas tout droit, tout droit...
Ce petit chemin
1934
L'atelier d'couture est en fête,
On oublie l'ouvrage un instant,
Car c'est aujourd'hui qu'Marinette
Vient juste d'avoir ses vingt ans
On n'a pas tous les jours 20 ans
1934
Là-bas, près des côtes de France
Sur la mer immense
Au ciel du midi
Il est un vrai coin de Paradis
Que je chéris
Ô Corse ile d’amour
1934
Adieu Venise provençale
Adieu pays de mes amours
Adieu cigalons et cigales
Adieu Venise provençale
1935
Près de la grève, souvenez-vous,
Des voix de rêve chantaient pour nous,
Minute brève du cher passé,
Pas encore effacé.
Le plus beau tango du monde
1935
Allô, allô, James, quelles nouvelles
Absente depuis quinze jours,
Au bout du fil je vous appelle
Tout va très bien Madame la Marquise
1935
Vous, qui passez sans me voir
Sans même me dire bonsoir
Donnez-moi un peu d'espoir ce soir
Vous... Qui passez sans me voir
1936
Marinella !
Ah..., reste encore dans mes bras,
Avec toi je veux jusqu'au jour
Danser cette rumba d'amour
Marinella
1937
Je chante, je chante soir et matin
Je chante sur mon chemin
Je chante, je vais de ferme en château
Je chante
1937
J'attendrai
Le jour et la nuit
J'attendrai toujours
Ton retour
J'attendrai
1937
C'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux
La java bleue
1939
Voici, contée sur une valse musette,
L'histoire en quelques mots
Du beau roman d'une jeune midinette,
Et d'un petit Parigot
Comme de bien entendu
1941
Une flamme sacrée
Monte du sol natal
Et la France enivrée
Te salue Maréchal
Maréchal, nous voilà
1944
Mon épicier l'avait gardée dans son comptoir,
Le percepteur la conservait dans son tiroir,
La fleur si belle
De notre espoir.
Fleur de Paris
1945
La Belle de Cadix a des yeux de velours
La Belle de Cadix vous invite à l'amour
La Belle de Cadix
1946
Oh ! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis.
En ce temps-là la vie était plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Les feuilles mortes
1950
Des yeux qui font baisser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche
Voilà le portrait sans retouche
De l'homme auquel j'appartiens
La vie en rose
Pas de commentaires