Reliez les paroles des chansons de Jean-Jacques Goldman à son titre

"C'était un cordonnier, sans rien d'particulier dans un village dont le nom m'a échappé"

"N'y va pas, y'a des tempêtes et des naufrages, le feu, les diables et les mirages"

J'ai beau me dire qu'il faut du temps, j'ai beau l'écrire si noir sur blanc, quoi que je fasse, où que je sois, rien ne t'efface, je pense à toi"

"Et crever le silence quand c’est à toi que je pense, je suis loin de tes mains, loin de toi, loin des tiens"

"J'ai trop saigné sur les Gibson, j'ai trop rôdé dans les Tobacco road, y'a plus qu'les caisses qui me résonnent"

"J'envie ce que les autres ont, je crève de ce que je n'ai pas, le bonheur est possession"

Elle avait les yeux clairs et la robe en velours, à côté de sa mère et la famille autour, elle pose un peu distraite au doux soleil de la fin du jour"

"Regarde ma vie, tu la vois face à face, dis-moi, ton avis, que veux-tu que j'y fasse ?"

"Oh, la ville et ses pièges, ce sont mes privilèges, je suis riche de ça, mais ça ne s'achète pas"

"Une épaule fragile et solide à la fois, ce que j'imagine et ce que je crois"

"Et même si le temps presse, même s'il est un peu court, si les années qu'on me laisse ne sont que minutes et jours"

"On partira de nuit, l'heure où l'on doute, que demain revienne encore, loin des villes soumises, on suivra l'autoroute"

"Elle met du vieux pain sur son balcon pour attirer les moineaux, les pigeons"

"Grande fête au château il y a bien longtemps, les belles et les beaux, nobliaux, noble sang"

"Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles sauront t'aimer mieux que nous puisque l'on ne peut t'aimer plus"